La haute couture de l’art de la table
Lorsque j’ai commencé la céramique, j’ai tâtonné quelques temps avant de trouver les bons mélanges pour obtenir un bel émail.
Comme pour le parfum, j’ai appris par un maître à noter les bons assemblages, les mélanges et les proportions à utiliser dans un cahier que je (re)garde toujours.
N’oublions pas que les émaux ont une toujours une couleur indéfinie lorsqu’on les pose sur le biscuit.
Ce n’est qu’après la cuisson que les couleurs se révèlent : éclatantes, trop pâlies ou « brûlées ».
Le résultat final dépend de la cuisson et c’est toujours le four qui a le dernier mot…